Une matinée au parc

Il faisait super beau et comme j'avais du temps libre je suis allé me flasquer dans un parc au soleil. Il y avait déjà 3 nanas et monokini en train de se dorer la pilule. Je me suis mis entre les 3, histoire d'avoir un bon angle de vue. C'était agréable. Un léger vent frais sous un soleil que l'on sent puissant et qui deviendra de plomb au fil des heures. L'une des trois lisait un roman d'Amélie Nothomb, une autre écoutait de la musique dans son i-baladeur et la dernière faisait simplement le steack.Ca devait être des habituées.
La petite paire de nichon de la lectrice était petite, genre bonnet A, mais très jolie, ronde et ferme. Sa peau ambrée resplendissait au soleil. C'était une petite brune d'environ 24 ans avec la petite frange et les cheveux raides.
Excellent choix ! J'attendais qu'elle s'arrête de lire pour tenter une ouverture et ce fut très vite fait parce qu'a regarder les gens avec insistance, on les dérange toujours sans qu'eux même ne savent véritablement pourquoi et qui. Or donc elle remua, regarda autour d'elle, m'aperçu, regarda alentour et but une bonne gorgée d'eau à la bouteille, dans ma direction. Elle trifouilla dans son sac et en ressorti une bombe aérosol de crème solaire. Nonchalamment, limite en minaudant elle s'en passa sur son adorable petit corps. Elle portait un tango brésilien argenté. Je me suis évidement proposé pour lui vaporiser la crème dans le dos. Elle était réticente mais j'ai insisté et en insistant j'ai blagué tant et si bien que je me suis installé à ses cotés, ni vu ni connu. Il faut dire qu'on ne peut pas refuser ça au meilleur étaleur de crème de tout l'est parisien. De fil en aiguille et d'aiguille en chas le temps passant à papoter, nous avons décidés de se mettre à l'ombre en terrasse pour déjeuner. Auparavent il fallait passé par chez elle, tout à coté, pour qu'elle puisse se changer un peu.
Elle habite sous les toits d'un immeuble de pierre de taille. Son ascenseur est un petit truc en bois et fer forgé qui grimpe péniblement. Il à l'avantage de devoir se coller lorsqu'on ferme les portes. Ses cuisses dénudées toutes contre mes jambes, son t-shirt contre ma chemisette. Ses petits seins gonflés de sèves comme deux belles oranges. Ses lèvres roses finement ourlées avec ses petits yeux bleus amusés. Ses longs cheveux qui se collent à la peau. En voila pas plus pour s'embrasser langoureusement. Il y a encore un étage à monter à la marche. Dans les escaliers elle passe devant en sautillant et tortille bien du popotin. Ca promet. Arrivé sur le seuil  de sa porte elle se retourne et nous nous embrassons. La porte s'ouvre enfin. Sur le canapé elle me dessape et en m'embrassant partout elle embrasse mon sexe déjà bien gaillard. Je lui ai retiré son t-shirt et son maillot mais gardé sa jupe et je doigte sa bonne chatte. C'est un minou bien charnu avec de grosses petites lèvres. Elle y a des anneaux en piercing. Les poils sont cours et partout. C'est adorable. J'en profite pour bien écartée les lèvres et j'enfoui ma bouche dans sa chatte. J'aspire, je lèche à grand coup de salive puis je vais sur son clito. Je le titille avec mon index, le caresse bien du bout des doigts. Elle aime ça la petite. Je l’entends me dire de continuer. J'ai la tête à fond dans sa touffe et je lèche et doigte et suce et sent tout se sexe complètement ouvert. Pendant se temps là elle s'active sur ma bite. Je la sens bien me la mouillée de sa salive de petite coquine. Elle me la branle et se l'enfoui au chaud et sa tête s'active en tournant, montant et descendant sur mon pieux. Elle me met une capote et la voila reparti à l'assaut du membre. Elle s'exécute plus relâchée et plus passionnée, comme une folle de bite elle s'active à bien me le secouer et à le lubrifier de sa salive. Elle en veut, alors elle le dit et elle se met à quatre pates après avoir retirer jupes, ceinture et slip. Je tâte les fesses et je dirige ma queue à l'entrée de sa moule baveuse. J'entre. Au début il y a de la résistance et très vite on peut limer à gros coups de reins. A chaque gros coup elle pousse un gémissement langoureux. Mais là ou ca se passe ca clapote grave ! Le flux et le reflux de ma bite dans sa chatte toute mouillée, lançant ma chair en de gros claquements contre son corps, sa vulve trempée et ses fesses relâchées. Un petit tribal à la base des reins danse à gros coup de pine la danse du marteau piqueur lubrique. Elle a des mots cru la coquine. Elle veut se faire baiser comme une grosse salope que tous le monde se lève dans un parc. Elle est très sensible des nichons. Lorsqu'on les presse elle gémit. Cette fois je l'allonge de dos sur le canapé. Je vérifie si sa petite moule est toujours bien baveuse et je comme aspirée ma bite se débat dedans. Je peux l'embrasser et je ne m'en passe pas. Elle est très mignonne quand elle jouit la garce. Elle ne s’est plus trop ce qu'elle veut. Elle veut me sucer puis après 3, 4 léchouille elle l'apprécierait bien contre le clito, puis re la bouche puis 3 petits coups dans la moule et re contre le clito avant de la remettre dans la bouche. Va falloir que je l'invite voir des copains. Je lui prends la tête de mes deux mains et je lui baise la bouche. Je le lui mets même jusqu'a la garde. Puis je l'allonge sur le ventre, lui met un coussin sous le ventre et de ma grosse langue râpeuse j'y vais à grands coup. Jusqu'a l'anus. Sa chatte est toute mouillée. Son clitoris est bien gonflée et trés sensible. Un petit coup de langue bien humide et la voilà qui part. Quand elle revient ces avec des "va s y bouffes moi bien". "Tu te régales mon salaud." "T'aimes ma chatte, ma chatte de salope, hein, enculé." Alors je lui écarte bien les fesses et avec les pouces que je mets à la limite du trou j'étire bien. Je lui lèche ça comme un goulu et je lui enfile direct un doigt. J’attends un peu puis je remue et je continue de lécher sa cramouille. Je remets ma queue dans sa chatte et je la relime comme un sauvage. Elle en crie de plaisir. Quand je caresse sa chatte c'est ultra mouillé. J'écarte ses fesses et j'entre à sec dans son petit cul. Elle en a comme une répulsion puis elle colle ses fesses à mon aine. Je lime tout doucement pour ne pas lui faire mal. Puis elle me demande d'y aller plus fort puis de ne pas m'arrêter. De temps en temps elle dit qu'elle aime ça, que je suis un bon briseur de boule, que le sien est un bon boule de petite pute qu'il faut que je défonce. Et c'est bien ce que je fais. J'y vais avec des mouvements amples, limites si à chaque coup je ne ressort pas mon sexe en entier avant de le lui remettre jusqu'a la garde. C'est justement à un moment ou je l'avais retiré en entier de son coup que j'en profitais pour virer la capote et de demander à Sabrina de bien me lécher. J'avais la bite toute rouge et bien grosse. Elle se l'est engouffrée d'un coup puis m'a bien mouillée la queue. Ca lui faisait plaisir d'avoir un bon membre sans capote à avaler. Elle a redoublée de précautions et elle s'est fait récompenser par de longs et chauds jets de sperme bien crémeux qu'elle à avaler en poussant de gros soupirs de contentements.